Cités des romans Coeur de Menhir – partie 1

par | 18 juillet 2022

Alors que les dédicaces estivales ont débuté la semaine dernière, voici ci-dessous les premières descriptions sur les royaumes, cités et villages, issus de ma série de romans médiévale fantastique Cœur de Menhir. Bien évidemment, aucunes de ces informations ne viendront vous gâcher votre éventuelle future lecture.

Étant donné que vous ne me suivez pas toutes et tous sur les réseaux sociaux, si je suis dis que faire un article tous les trois ou quatre partages vous permettrez également de connaître d’autres détails sur l’ambiance du récit que je vous propose.

 

Cités de la série de romans fantasy Cœur de Menhir

 

Comme pour les romans, je vais commencer par la cité de Kêrstrud, dit l’Arbre Cité :

 

source image arrière-plan : https://wallhaven.cc/user/kingkratos94 

 

« Cité principale de la forêt de Déremkas, là où les premiers événements du livre ont lieu. Nichée en haut d’un chêne aux mensurations cyclopéennes, Kêrtsrud est une place forte en raison de sa position géographique ainsi que de son armée. Seuls des humains y vivent. Même si des marchands de tous horizons y transitent parfois, le respect et la courtoisie demeurent durant les échanges.

En dehors, les autres races (nain et elfe) ne sont pas en odeur de sainteté au sein de la forteresse. Autre point fort de cette cité, son conseil : le Tric’horn. Trois personnages nuancés et décidés à atteindre un objectif commun. Maîtrisant tous les aspects de la politique, ce serait une erreur de les sous-estimer. Leur vision du monde n’est qu’un échiquier où les pièces inférieures ne sont là que pour être sacrifiées.

Entourés de concurrents, pour ne pas dire ennemis, Mélor, arrogant et fin stratège, Azénora, fourbe et hautaine, ainsi que Beltram, taciturne et sans vergogne, useront de tout leur savoir-faire dans le but de parvenir à leur fin : asservir les peuples humains de cette région. Y parviendront-ils ? »

Pour la seconde, je vais vous présenter le village de Jappre :

 

 

« Bâtie aux pieds des Monts Brumeux, cette ancienne cité minière aux allures moroses, située au nord-ouest de Kêrstrud, est réputée pour son climat pluvieux mais aussi pour son unique accès : la Porte de fer. Leurs remparts étant encastrés entre de solides séquoias, l’un d’eux, le plus robuste, avait été désigné pour concevoir le fameux accès. Creusé et poli de l’intérieur, l’arbre disposait de battants métalliques actionnés par un treuil.

Même si l’imposante Kêrstrud lui faisait de l’ombre, Jappre n’en était pas moins une cité crainte. En posture défensive, la réputation de ses archers suffisait à freiner les ardeurs des envahisseurs. Aujourd’hui dirigée par Ottilie, une septuagénaire mystérieuse dont la fille adoptive, Sigrid, est à la tête de la garde et secondée par Rajveer, un ancien mercenaire expérimenté, les relations de ce trio sont souvent tumultueuses.

Bien que le sort du village soit une priorité, leurs différents buts parasitent la coordination des actions à mener. Seront-ils capables de se fixer un objectif commun ? »

Enfin, pour la troisième et dernière de cet article, voici la forteresse de Lenn gozh :

 

source de l’image : https://wallhaven.cc/user/GvrFreitas

 

« Forteresse érigée sur l’unique îlot du lac de cette région et ce, malgré un espace étriqué et un ost inférieur aux autres cités environnantes, Lenn gozh a su tirer avantage de ce cadre idyllique. Connue pour son marché prospère et être un lieu de transit pour de nombreux marchands fortunés, les mets rares et exquis ainsi qu’un large choix de produits luxueux, garantissent à cette cité un train de vie supérieur à ce qu’elle aurait pu prétendre.

Aux commandes, le roi Alberzh, personnage très éloquent, dirige la forteresse et les hameaux bordant le lac par la ruse. Néanmoins, son penchant pour le vin, son appétit pour les traités commerciaux afin d’accumuler toujours plus de richesses, et comptant autant de poissons que de sujets, permirent à ses détracteurs de le surnommer le Brochet rouge.

Bien qu’un souverain digne de ce nom aurait tranché la langue de n’importe quel gueux pour cette parole déplacée, lui, préfère s’en amuser. La preuve : sa meilleure cuvée a été baptisée le Carassin doré en référence au poisson rouge. Il s’épanouit dans son bassin florissant, mais jusqu’à quand ses adversaires lui laisseront-ils le loisir de s’étendre ? »

Voilà qui devrait (peut-être) satisfaire votre curiosité. En tout cas, d’autres descriptions seront partagées via les réseaux sociaux chaque week-end jusqu’à épuisement des informations ou de l’auteur 🙂

Rendez-vous donc d’ici trois à quatre semaines pour un nouvel article sur le blog ! Pour les impatients, les liens vers les réseaux sociaux sont en dessous. Prenez soin de vous.